Travail aérien en montagne avec l'hélicoptère KA32 d'Heliswiss (1re partie)
Le chantier de pose des pylônes de la nouvelle remontée mécanique
(Photo André BOUR) Fixation des balenciers avec les galets par où passeront les câbles
La nouvelle remontée mécanique de la station de ski des Menuires à 1756 mètres d'altitude vers la Pointe de la Masse à 2804 mètres d'alitude, repose sur 24 pylônes. Les stations de départ et d'arrivée ainsi que les fondations en béton des pylônes avaient été réalisées l'année précédente. Les éléments des pylônes (fûts, tête de pylône, balanciers) avaient été acheminées par camions sur 2 DZ, la première au niveau de la station, la seconde à 2260 mètres d'altitude. La pose de chaque pylône se fait élément par élément, plus de 100 rotations étaient planifiées pour mener à bien le chantier.
La hauteur des pylônes est variable, l'objectif étant d'épouser le relief et de faire en sorte que les cabines soit maintenues à une distance suffisante du sol quelque soit leur chargement et la dilatation des cables en fonction de la température.
Jusqu'au dernier moment le chantier était dépendant de la météo. Au final l'hélicoptère est arrivé un jour avant pour tirer avantage d'un créneau météo favorable, ce qui n'a pas éviter quelques belles averses.
Pour monter à la seconde DZ et plus haut en altitude, nous avions loué un 4x4. Ceci nous a permis de circuler sur la piste de montagne et moyennant quelques marches sur la neige et de quasi-escalade, de nous positionner rapidement sur les points hauts et de réaliser quelques séries de photos en "Air to Air".
Les consignes de sécurité étant très strictes, nous nous étions engagés à ne pas circuler sous les pylônes pour ne pas nous retrouver sous les charges.
(Photo Stéphane GIMARD)
(Photo André BOUR) Soulèvement d'une partie de fût de pylône. Suivant la hauteur du pylône plusieurs tronçons seront assemblés
(Photo Stéphane GIMARD)
(Photo André BOUR)
(Photo André BOUR)
(Photo André BOUR)
(Photo André BOUR) Le massif en béton est plus imposant qu'il n'y parait. En effet, la partie la plus importante est située sous terre. Le fût métallique du pylône est boulonné au massif via des tiges filletées coulées dans le béton
(Photo André BOUR) Fixation du premier élément de pylône sur sa base
(Photo André BOUR)
(Photo André BOUR)
(Photo André BOUR)
(Photo André BOUR)
(Photo André BOUR)
(Photo André BOUR)
(Photo André BOUR)
(Photo André BOUR) Hélitreuillage de la partie haute d'un pylône
(Photo Stéphane GIMARD)
(Photo André BOUR)
(Photo André BOUR)
(Photo André BOUR)
(Photo André BOUR)
(Photo André BOUR)
(Photo André BOUR) Fixation de la partie haute d'un pylône
(Photo André BOUR)
(Photo André BOUR) Fixation des balenciers avec les galets par où passeront les câbles
(Photo André BOUR)
(Photo André BOUR)
(Photo André BOUR) Pose du dernier élément d'un pylône
(Photo Stéphane GIMARD) Vue d'ensemble avec la station des Menuires en contrebas
(Photo André BOUR) L'alignement des pylônes sur la partie basse de la ligne entre la station des Menuires et la DZ 2. L'inclinaison des pylônes est très variable (de + ou - 40°) de façon à ce que la résultante des forces qui s'exercent sur le pylône soit toujours dans l'axe du fût du pylône
(Photo Stéphane GIMARD)
(Photo Stéphane GIMARD)
(Photo Stéphane GIMARD)
(Photo Stéphane GIMARD)
(Photo Stéphane GIMARD)
(Photo Stéphane GIMARD)
(Vidéo André BOUR - HELICOPASSION)
Page publiée le 3 juillet 2021, dernière mise à jour le 5 septembre 2021