Patrice ULDRY a suivi cette journée "pleine d'incertitudes et de poussée d'adrénaline, où l'acteur principal a été le brouillard avec des allers et venus qui ont beaucoup gêné le travail des pilotes".
L'action se déroule entre 1800 à 2300 mètres d'altitude.
(Photo Patrice ULDRY)
"Il est 8H30 et cela fait déjà 3 heures que nous sommes dans la montagne, quand un écho nous arrive du bas de la vallée"
(Photo Patrice ULDRY)
(Photo Patrice ULDRY)
"Une approche pas facile entre deux lignes à haute tension"
(Photo Patrice ULDRY)
"Du travail de précision malgré la taille des pièces"
(Photo Patrice ULDRY)
(Photo Patrice ULDRY)
"Après deux tentatives pour aller chercher les autres pièces à travers le brouillard, le pilote décide d'aller attendre une éclaircie sur les hauteurs"
(Photo Patrice ULDRY)
(Photo Patrice ULDRY)
"On revoit
le Mont Gelé, on est bon..."
(Photo Patrice ULDRY)
(Photo Patrice ULDRY)
(Photo Patrice ULDRY)
(Photo Patrice ULDRY)
(Photo Patrice ULDRY)
(Photo Patrice ULDRY)
"Là, j'ai baissé la tête"
(Photo Patrice ULDRY)
(Photo Patrice ULDRY)
(Photo Patrice ULDRY)
Un grand merci à Patrice ULDRY pour ce reportage. Malgré les conditions difficiles, y compris de lumière pour le photographe, c'est un bel hommage au travail de ces hommes. Le fait que la météo n'ait pas été idéale donne encore plus de valeur à ce reportage. On sent le froid humide arriver avec le vent de la vallée et on imagine l'équipe attendant impatiemment que la visibilité s'améliore pour poursuivre le travail.